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La pomme sauvage et les arguments de vente, selon la cidrerie Turbulence

La pomme sauvage et les arguments de vente, selon la cidrerie Turbulence

Ce balado est présenté par Boisson Québec,
un nouveau groupe d’affaires pour l’industrie

Lionel et Adèle font, comme ils l’appellent, du cidre de « garage » depuis 8-9 ans. Le couple a été très impliqué dans la culture et la restauration à Montréal durant plusieurs années, et ont décidé de finalement partir pour de nouvelles aventures à l’extérieur de la métropole. Ce qui les a mené à ouvrir à Sutton, Réserve Naturelle, une cave à vin naturel où l’on peut manger, et en plus la cidrerie Turbulence qui en est officiellement à sa première année d’activité.  

Le projet de production de cidre a émergé alors qu’ils avaient envie de produire un breuvage, mais ils étaient à la recherche du bon match. Après réflexion, dans la microbrasserie, il y avait trop de joueurs et ce n’était pas leur boisson de prédilection, et un projet de vignoble était trop dispendieux. « On allait souvent à Sutton parce que la belle famille y habite. Et on s’est rendu compte, en regardant sur les terres agricoles, sur les terrains privés et aux abords des fossés, qu’on voyait tout le temps des pommiers qui étaient délaissés. On parle de pommes sauvages, mais c’est un grand mot pour dire pommes abandonnées ou pommes non traitées. C’est cette diversité qui amène la complexité dans un cidre. Une complexité qu’on ne peut pas retrouver avec des cidres fait en mono variété, par exemple, juste avec de la McIntosh ou avec un seul type de pomme. » explique Lionel Furonnet lorsqu’il raconte comment ils en sont venus à vouloir découvrir le cidre.

Écoutez l’entrevue intégrale dans l’épisode 010 du balado
Les assemblages d’idées : cidre et vin

Le balado est disponible sur les plateformes suivantes: 

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