Parle-nous un peu de ton parcours… Te destinais-tu à devenir photographe?
Pas du tout en fait, j’ai un bac en Science politique et un certificat en journalisme. J’ai commencé il y a 5 ou 6 ans en revenant d’Inde, à un moment où j’avais un peu perdu le sens de mon existence. J’avais emporté juste un iPhone en voyage et je m’en voulais tellement de n’avoir pas été en mesure de capter toute la beauté et la grandeur de ce que j’avais vu, que sur un coup de tête je me suis acheté un bon appareil photo. Je ne connaissais tellement pas ça, que lorsque j’ai reçu la caméra, je ne comprenais pas pourquoi elle n’avait pas de lentille intégrée! [rires] J’ai tout appris «sur le tas», j’apprends encore en fait, j’ai l’impression d’être un bébé encore.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton travail?
Quelles sont tes principales inspirations?
Tu réalises justement plusieurs contrats dans le domaine musical…
Comment jongles-tu entre la photographie commerciale et la photographie d’art?
«Certains paysages finissent par m’obséder. Je veux qu’ils s’impriment dans ma rétine.»
Parle-nous de tes oeuvres les plus marquantes.
Quels sont les défis principaux que tu rencontres en tant que travailleuse autonome?
Quels sont tes projets à long terme?
🔥 Camille Gladu-Drouin
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