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Une cabane à sucre végane tente le modèle de contribution volontaire : La Cabane à Tuque

Une cabane à sucre végane tente le modèle de contribution volontaire : La Cabane à Tuque

Ce balado est présenté par le nouveau groupe d’affaires Boisson Québec
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Consultez notre dossier Sirop d’érable, Or blond du Québec qui regroupe tous nos contenus créés en lien avec l’industrie acéricole.

 

Depuis 2016, le restaurant La Cabane à Tuque n’ouvre que durant la période des érablières à Mont-Tremblant. Offrant maintenant un menu uniquement végétalien, son propriétaire Simon Meloche Goulet tente un modèle unique pour sa saison 2023 après avoir été dépassé par la gestion durant la pandémie : « Avant, je recevais jusqu’à 35 à 40 personnes de groupes différents. […] On pouvait opérer à trois staffs. […] L’année dernière, il y avait le passeport vaccinal. Je créais des petits groupes de 4 à 12 personnes puis des stations de 30 minutes chaque. J’avais 6 stations. Je croyais qu’avec 10 employés je serais correct, mais je me suis retrouvé avec 17 employés en 2 mois. L’essence de ce que je voulais offrir n’était plus là. Alors ça fait 3 ans que je cours pas mal et donc cette année je ne fais pas de compromis. » Il n’a pas reçu beaucoup de clients l’année dernière pour écouler son inventaire de fin de saison, alors Simon décide d’utiliser la formule de “contribution volontaire”.


Écoutez le balado pour en savoir un peu plus sur leur histoire, leur technique et leur image de marque.

Le balado Affaires et Terroir est disponible sur les plateformes suivantes : 

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Comme il avait augmenté ses prix cette année là, ça permettait à ceux qui n’avait pas le budget, de pouvoir vivre quand même l’expérience de La Cabane à Tuque. « Je suis arrivé à la fin et ça donnait exactement ce dont j’avais besoin. Ça s’était équilibré. Alors je l’applique pour cette année. Je vais placé des prix de référence des dernières années avec les coûts que j’ai eu.[…] Puis il y aura mes infos Interac pour que les gens ne se sentent pas gênés. » Et pour ajouter un défi de plus, mais aussi pour s’enlever du stress de devoir gérer plusieurs clients, Simon cherche à ne réserver que pour de gros groupes : « Je ne suis pas un gars de courriel, et j’ai passé trois années à communiquer avec des clients un par un. Des annulations, des reports, etc. Et cette année, je ne veux qu’avoir du plaisir. C’est plus facile de gérer un seul client par soir que 15 différents. Donc je veux ouvrir uniquement pour des réservations de groupe d’un minimum de 20. »

 

 

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