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Bien exporter le sirop d’érable selon la PPAQ

Bien exporter le sirop d’érable selon la PPAQ

Consultez notre dossier Sirop d’érable, Or blond du Québec qui regroupe tous nos contenus créés en lien avec l’industrie acéricole.


C’est en 1966 que l’organisation des Producteurs et productrices acéricoles du Québec fût fondée. En 1990 , ils ont réussi à faire adopter le plan conjoint pour réguler la mise en marché. Ensuite dans les années 2000, plusieurs outils apparaissent comme l’Agence de vente, la Réserve stratégique mondiale de sirop d’érable et le Règlement sur le contingentement.

« Depuis le début de la COVID, on a connu une augmentation de 20 % des importations à travers le monde. Considérant qu’on exporte 85 % de tout ce qu’on produit, c’est de très bonnes nouvelles pour les producteurs et productrices » explique Joël Vaudeville, directeur de communication chez les Producteurs et productrices acéricoles du Québec.


Écoutez le balado pour en savoir un peu plus sur les défis et dossier de 2023

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Sur les nouveaux marchés d’exportation, il y a entre autres l’Australie. « On a un département à la PPAQ qui est dédié à la promotion et au développement des marchés à l’internationale. Il contacte les agences locales, met en marché le sirop d’érable et essaie de le présenter sous son meilleur jour. On démontre ses qualités nutritionnelles et ses qualités de développement durable. Il y a aussi quelque chose de culturelle à vendre. Ça reste assez particulier de sortir du sucre d’un arbre. C’est un peu ce qu’on essai de faire valoir sur les différents marchés et pour cela, on est accompagné par des spécialistes dans chacun des pays l’on démarche. »

 

 

 

 

 

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