Le cinéaste Philip Fortin nous parle de son métier et de sa formation au CASE (Carrefour des Arts de la Scène et de l’Entrepreneuriat) qui donne aux artistes et travailleurs culturels, déjà formés dans leur discipline, des outils pour vivre de leur art. Une formation gratuite et diplômante que l’artiste montréalais a suivie pour comprendre son rôle, déployer sa vision, mais aussi développer ses compétences entrepreneuriales et élargir son réseau.
Bonjour Philip! Parle-nous de ton métier.
Tu as étudié à l’Université Concordia en arts et sciences avec une spécialisation en communication et média. Qu’est-ce qui t’a poussé à suivre une formation au CASE?
Comment s’est déroulée ta formation?
«Je pense que ma meilleure création, c’est le prochain moi-même! Je suis qui je décide d’être le matin quand je me lève.»
Que recherchais-tu en priorité avec cet enseignement?

Cette formation a-t-elle été conforme à tes attentes?
Dans quelle mesure cet apprentissage au CASE t’a-t-il permis d’avancer dans ta carrière d’artiste?
Cette formation a-t-elle aussi été bénéfique pour élargir ton réseau?
As-tu un exemple concret d’action que tu as pu mener ou réussir grâce à ta formation?
«Le monde de l’entreprise est nécessaire aux artistes, car nous avons tous besoin d’être soutenus financièrement, tout en conservant la liberté de nous exprimer. Mais j’ai appris au CASE que le monde des affaires a également besoin des artistes.»

Quel est le meilleur enseignement que tu aies reçu au cours de ton parcours?
Comment perçois-tu le lien entre les artistes et l’entrepreneuriat aujourd’hui?
As-tu un conseil à donner aux artistes qui envisagent une formation au CASE?
