«The States Of Becoming» au Livart. Jusqu’au 15 avril.
À travers plusieurs oeuvres hétéroclites, les finissants en photographie au département des Beaux-Arts de l’Université Concordia interrogent le statut et le langage de l’image photographique. Pour «The States Of Becoming», le collectif Vitamine Scout présente un travail aussi vibrant qu’esthétique qui parvient à happer le regard des spectateurs.
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«Toujours la coquille de l’autre/Always the shell of another» Celia Perrin Sidarous à la galerie PARISIAN LAUNDRY. Du 13 avril au 19 mai.
Pour sa deuxième exposition individuelle dans cette galerie, l’artiste visuelle présente des photographies, un film et des céramiques. Celia Perrin Sidarous a déjà vu son travail être exposé à Toronto, New York, Banff ou encore Calgary.
«Regards croisés sur l’intime» Alix Galdin et Sarah Seené à la galerie perchée de La Cenne. Jusqu’au 30 avril.
Une double exposition dans le cadre d’Expolaroid où le portrait, l’autoportrait, l’émoi et l’introspection se croisent et se questionnent avec délicatesse et bienveillance. Les deux artistes travaillent essentiellement la photographie instantanée et nous proposent ici une immersion au sein de ce processus qui permet une démarche artistique empreinte de surprise et de poésie.
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«Ensemble, nous faisons tourner Bleu Terre» Caroline Dostie à la Maison du développement durable de Montréal. Jusqu’au 19 avril.
«Une série de portraits de citoyennes et de citoyens ordinaires qui mènent des actions extraordinaires afin de faire reconnaître le droit de vivre dans un environnement sain.
Tirés par la photographe Caroline Dostie, ces portraits visent à mettre en valeur les efforts des bénévoles Bleu Terre de la Fondation David Suzuki qui, chacun à leur manière, favorisent l’émergence d’une nouvelle génération de leaders environnementaux au Canada.» montreal.murmitoyen.com
«Horizon» Catherine Aboumrad à la galerie La Castiglione. Jusqu’au 12 mai.
«L’horizon, dans sa plus simple expression, se définit comme le point de contact entre ciel et terre ou ciel et mer. Mais cette rencontre, qui n’advient concrètement que dans l’image du paysage, a tôt fait de rappeler la signification de l’horizon : celle d’une circonscription. Si l’horizon cadre le paysage et en structure la représentation, il induit également une façon de regarder. Pour Catherine Aboumrad, cet effet sur le regard se traduit non seulement en relation avec l’image photographique qu’elle montre, mais aussi en amont, au moment même de la captation. Le corpus d’Horizon a pris forme lors de deux expéditions à bord de bateaux commerciaux, sur le golfe du Saint-Laurent et sur la mer Méditerranée.» lacastiglione.ca
«Pour l’art» à la Galerie B-312. Du 14 avril au 5 mai.
Rien de moins que 92 artistes exposés pour environ 100 oeuvres à découvrir et à acquérir afin de soutenir la galerie lors de cette exposition-bénéfice annuelle. Une occasion toute particulière afin de soutenir les arts visuels de chez nous!
«The Bootleggers II» Stikki Peaches à la Galerie Station 16. Jusqu’au 28 avril.
C’est la deuxième exposition individuelle pour l’artiste de rue Stikki Peaches qui réalise des collages éblouissants. Suivant la série The Bootleggers présentée l’an passée, une exposition qui abordait la nostalgie de l’enfance par l’entremise de la représentation de plusieurs figures publiques telles que Frank Sinatra ou encore Brigitte Bardot, The Bootleggers II se tourne cette fois-ci vers les muses de la mode.
«Whatever Form This Moment Takes» Jim Verburg à la Galerie Nicolas Robert. Jusqu’au 12 mai.
«Au cœur du vacarme visuel et de l’encombrement, qui semblent être une part croissante et inévitable de notre quotidien, le travail présenté dans l’exposition Whatever Form This Moment Takes offre un répit bien mérité, une occasion bienvenue de ralentir le regard et d’entrer dans un état méditatif profond.» galerienicolasrobert.com
Expolaroid Montréal au Studio Argentique. Du 16 au 30 avril.
Le mois d’avril vient marquer à chaque année la célébration de la photographie Polaroid. À cette occasion, neuf artistes montréalais exposeront leurs oeuvres au Studio Argentique. Une exposition qui promet de faire fusionner avec beauté le rétro et le contemporain sur pellicule instantanée.
«Bucolique et nucléaire» Maude Thibault-Morin à la galerie AVE – Arts Visuels Émergents. Du 12 avril au 2 mai.
