Consulter le dossier : Les affaires brassicoles / Boisson Québec ’24
L’année a commencé avec de nombreux messages pour savoir si l’on pouvait discuter de l’industrie, des possibilités de vendre ou d’acheter des entreprises, parler de contract brewing, de nouveaux produits, de savoir si le taproom/broue pub est la stratégie à adopter, s’il vaut mieux participer à des festivals de bières ou réaliser son propre festival, connaître ceux qui ferment et ceux qui vendent, et pourquoi ? Est-ce qu’il existe aussi des modèles d’affaires pouvant vous aider à traverser vos défis, et plusieurs autres questionnements concernant votre avenir et celui de l’industrie en général.
Des heures à avoir de belles discussions en personne et en virtuel sur le business. Et souvent, d’arriver à la conclusion qu’il n’y a pas une seule solution, et que ceux qui vous vendent cette simplicité ne vous veulent pas nécessairement du bien. Il y a de nombreux choix qui peuvent être faits et tout dépend de vos dettes, de votre chiffres d’affaires, des lieux (votre quartier peut faire une grande différence : la vie de quartier, la politique locale, la température, le marketing, les événements, la promotion et plusieurs autres facteurs), et que le plus important est de prendre du recul. Je sais que c’est difficile avec le manque de temps, mais il faut analyser votre coût d’acquisition client.