Close
S’approprier sa chaîne de production selon SETA Organic

S’approprier sa chaîne de production selon SETA Organic

Ce balado est présenté par le nouveau groupe d’affaires Boisson Québec

——————

L’entreprise SETA Organic, du couple Isabelle Jolette et Nicolas St-Pierre, utilise des superaliments pour créer des mélanges à smoothie et latté. 

Ça fait maintenant 2 ans et demi qu’ils gèrent leur petite entreprise, de la production à la distribution. Ils ont commencé dans leur cuisine pour ensuite déménager à La Manufacture, un incubateur d’entreprises en transformation alimentaire situé à Saint-Agathe-Des-Monts. Cette initiative leur permet d’avoir plus d’espace, une infrastructure entrepreneurial mais aussi de faire du réseautage, puisqu’ils partagent certains locaux avec d’autres entreprises similaires.  

 

 Aussi dans l’entrevue balado:

Segmenter les produits par gammes, l’industrie des produits santé et des superaliments et le marketing en ligne.

Le balado Affaires et Terroir est disponible sur les plateformes suivantes: 

▶️ Spotify        ▶️ Google Podcast       ▶️ iTunes        ▶️ Soundcloud

 

« En ce moment, notre production est plutôt artisanale » explique Isabelle. « Mais dès le printemps prochain, on va avoir de nouveaux équipements qui vont nous permettre d’augmenter notre capacité de production, un peu plus automatisée. On est à capacité maximum et on a de la misère à fournir. Avec ces machines-là, ça va nous permettre de ne passer que 5 jours sur 7 à faire de la production. Nicolas va pouvoir se dégager du temps pour se consacrer davantage à l’entreprise. » Nicolas continue : « Les nouveaux équipements vont nous permettre de mélanger de plus grosses quantités d’ingrédients ensemble et de faire la mise en sac. Ça, ça va nous sauver du temps car ce n’est pas 100 % automatique. »

 

Dans la même optique de développement, Isabelle renchérit : « On a décidé de partir notre propre usine. On aurait pu aller vers un sous-traitant, mais les quantités minimales sont quand même assez élevées. Donc, quand tu as 7 à 10 produits, ça prend quand même une bonne marge de crédit pour supporter tout ça. Les frais de démarrage peuvent être très très élevés pour une entreprise qui veut tester le marché. »

 


 

 

 

 

 

 

 

 

Close
0