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Entrevue musico-bouffe avec De Flore | Vitrines Grand public #1 | 42e édition de Contact ontarois

Entrevue musico-bouffe avec De Flore | Vitrines Grand public #1 | 42e édition de Contact ontarois

L’aventure psychédélique, électro-sensuelle, mystérieuse et ultra-groovy du groupe De Flore vous laissera dans une extase sonore et sensorielle affectant tout votre corps.  Nous discutons de leur univers culinaires et musical.

Vitrines Grand public #1  18 janvier | 19h30 à 23h
Centre des arts Shenkman – Salle Harold Shenkman

 

Comment décririez-vous votre univers musical?

De Flore est un rendez-vous de bedroom pop vaporeuse, de nu-disco à la french-touch et de néo-psychédélique sensuel. Sur scène, la voix évasive livre des images surréalistes sur des riffs de guitares hypnotiques, des synthétiseurs psychés, et des beats loungy

Y a-t-il une différence entre le style de musique que vous écoutez et celui que vous créez?

On écoute une grande variété de styles musicaux, du jazz des années 50 au organic house, mais ce qui joue sans faute et en boucle à la maison se rapproche de notre style musical. C’est indie, jazzy, psyché et toujours groovy. On pense notamment à Men I Trust, Rhye, The Marias, Khrughanbin.

Quelle est votre relation à la nourriture ?

Un réel plaisir de la vie. La cuisine a toujours été le cœur de la maison quand j’étais jeune, et ce l’est encore aujourd’hui. C’est la pièce où on passe le plus de temps!

Quelle est la première recette que vous avez appris à faire?

J’étais sûrement trop jeune pour me rappeler de ma vraie première, mais disons que c’était une soupe minestrone. Réconfortant et savoureux.

Quelle est la plus récente recette que vous avez faite?
La dernière que j’ai faite est un tajine de cuisse de poulet au citron et olive variées, yum

Si vous faites un souper, qu’allons-nous retrouver sur la table? Qu’allons nous manger?On aime voyager par la bouffe. Chaque fois qu’on sort du pays, on y revient avec des nouveaux tricks pour cuisiner. Ça peut donc varier énormément, malgré une tendance assez asian-fusion dernièrement. Ça peut aussi bien être de la bouffe traditionnelle franco-canadienne, qu’un korma indien végé crémeux et velouté, ou encore un poulet entier entouré de légumes de saison. Dans tous les cas, il y aura sûrement une sauce « épicée-chipotlée » faite maison sur la table.

Qui dit tournée, dit aussi liste de demandes spéciales en bouffe pour la loge. Lorsque vous faites des spectacles, qu’est-ce qui doit absolument être dans votre loge comme nourriture ?

On n’est pas très difficile, et honnêtement, on n’aime pas manger trop trop lourd avant un show. Sinon, on se sent comme si on s’enfonçait dans les planches du stage, lol. On essaye de toujours apporter une banane, des pacanes, puis du thé noir. On pourrait vivre des jours avec ça.  

Quelle a été votre meilleure expérience de « catering » dans une loge?

La meilleure expérience de catering, c’était un festin indien. Une option de poulet au beurre puis de curry végé… c’était « insane ». 

Quelle a été votre pire expérience de « catering » dans une loge?

Notre pire expérience serait sûrement la fois où il n’y avait juste rien! Du vide. Juste une chaise, lol. 

image: Photo x  Cats Coming – pexels.com

Votre plus gros « fail » culinaire?

Le plus gros fail culinaire, c’était la fois où on a oublié une belle pizza home-made dans le four… puis que ça l’a grillé hard

 

Si vous deviez mourir demain, quel serait votre dernier repas et le dernier album que vous écouteriez ?

Je pense que les deux on prendrait un énorme plaisir à manger un beau plat de sushis frais en écoutant un classique comme l’album « Woman » de Rhye ou encore « Ma Fleur » de Cinématic orchestra.

 

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