À défaut de pouvoir habiter les murs de l’université, le Collectif 20 de l’UQAM présente dès le 20 avril l’exposition virtuelle intitulée ce qui du monde se prélève permet à l’œil de s’ouvrir.
Au coeur de l’incertitude causée par la COVID-19, les artistes Maude Arès, Amélie Proulx, Giorgia Volpe et Shabnam Zeraati explorent la fragilité de nos relations avec l’environnement et l’espace social.
Le parcours numérique explore une diversité d’approches telles que la création de micro-univers, de formes hybrides mettant en scène le vivant ou d’identités par leur occupation des espaces.
Mises en dialogue, les oeuvres décloisonnent les pratiques en s’intéressant notamment aux métiers d’art, ainsi qu’aux matériaux moins connus.
Les oeuvres sont issues d’une réflexion commune de 19 étudiant.es de l’université regroupés sous le nom de Collectif 20. Ils ont manifesté leur désir d’utiliser l’art en tant vecteur de compréhension de la crise.
Afin de respecter les normes de distanciation sociale, l’exposition et la publication qui l’accompagne sont dévoilées au public sur le site web de la Galerie de l’UQAM et ses réseaux sociaux.
Un jeu en ligne, ludique et interactif, sera également proposé afin de nourrir la discussion. Les visiteurs pourront participer à la création grâce à une carte conceptuelle collaborative.
Les oeuvres sont en ligne jusqu’au 26 avril.
