Pouvez-vous nous raconter l’histoire derrière votre café? Qu’est-ce qui a motivé son ouverture, et pourquoi s’appelle-t-il ainsi?
On habitait Villeray depuis 10 ans. Amoureux du quartier, on voulait participer à son développement. Inspiré par ce local et son sous-sol étrange, le design du Oui Mais Non est né. Et le nom vient de cette expression populaire qui traduit l’indécision et l’ambivalence très actuelle. Ça veut rien dire et dire beaucoup en même temps.
Avec quel breuvage commencez-vous la journée?
Un cortado, des fois deux.
Quelle ambiance sonore règne-t-il le plus souvent dans votre café?
On fait toutes nos playlists nous-même. On trouve ça très important de choisir l’ambiance sonore en fonction du moment de la journée, du temps qu’il fait, etc. Alors on a une vingtaine de playlists qui durent entre 1h30 et 8h!!… On a été zélé sur certaines 😉 De « Il fait beaucoup trop chaud » à « tite neige » en passant par la « kitch fun drôle », les styles varient beaucoup, mais c’est généralement très prononcé, à la limite entre la musique d’ambiance et le party de gang.
Quel type de clientèle attirez-vous davantage?
On reçoit beaucoup d’étudiants et de travailleurs autonomes qui s’installent pour quelques heures avec leur laptop et leurs livres. On a d’ailleurs mis des prises électriques partout pour qu’ils soient les bienvenus. Les petits plats maisons sont très intéressants pour couper une journée d’étude sans rouler par terre après le repas. En plus de la clientèle régulière, le Oui Mais Non fait pas mal jaser (par son design et son caractère) et attire les touristes curieux.
Qu’est-ce qui fait de votre café le meilleur café au Québec?
On a zéro la prétention que notre café est le meilleur! On sert un super bon café et on offre une expérience vraiment pas plate!
Deux endroits où vous aimez boire du café en dehors de votre établissement?
Le café La Rue et fils sur Castelneau, voisin d’où on habite. Leur café est super bon et le staff est très friendly.
72 Rue Jarry Est, Montréal
