D’emblée, Hugo Américi explique qu’il revient d’un voyage de trois semaines en Taïwan et en Corée. Il prend le soin de nous préparer un thé fraîchement importé de Chine, et le sert dans un gaiwan [petite tasse à couvercle, dans laquelle on fait infuser le thé]. Il ajoute aussi que c’est une «bonne année» pour l’Anji Baichai, un thé qu’il connaît depuis sept ans. En effet, le fondateur de Camellia Sinensis semble vouer un culte quasi religieux au thé; on pourrait d’ailleurs...