Close
Plusieurs expositions à Montréal pour le mois de mai!

Plusieurs expositions à Montréal pour le mois de mai!

«Utopie Radicali: Florence 1966-1976» au Centre Canadien d’Architecture (CCA). Du 1er mai au 7 octobre.

«Utopie Radicali: Florence 1966-1976 explore l’idée de l’utopie comme instrument de critique sociale. L’exposition, organisée sous la direction de Pino Brugellis, Gianni Pettena et Alberto Salvadori, rassemble le travail de certains groupes et figures comme Archizoom, Superstudio, 9999, UFO, Zzigurat, Remo Buti et Gianni Pettena – praticiens iconoclastes ayant fait de Florence l’épicentre de nouveaux développements de la pensée architecturale dans les années 1960 et 1970. Des objets tirés du fonds d’archives Alessandro Poli au CCA font partie de l’exposition.»

«Désordre» Sen Shombit à la Galerie 203. Du 16 au 31 mai.

«Une exposition unique de l’expression artistique, le “gesturism art” dont l’artiste est le créateur, dans laquelle le “geste” apparaît comme élément fondamental de toutes formes de création. Sen Shombit, est né à Calcutta en 1954, et il a rejoint Paris en 1973 pour y suivre ses études aux Beaux-Arts et à l’Académie Julian avant de faire une carrière internationale de designer de marque et de produits industriels. Sen Shombit puisent ses racines académiques dans l’histoire de l’art français, mais il se construit dans l’imaginaire de l’Inde et de la richesse de la culture indienne, unique en son genre.» événement facebook

Les Mêmes-Cacaïstes à la Galerie C.O.A. Du 3 mai au 2 juin.

«Projection de film, peintures, sérigraphies et sculptures y seront à l’honneur. Les Mêmes-Cacaïstes ont vu le jour et la nuit en 2013. À la Nouvelle École des Beaux-Arts Plastiques de Montréal, ils s’absentent de leurs cours pour faire des collages numériques. Leur monde est un ensemble de glandes qui risque à tout moment la tumeur. Chacun est un virus pour l’autre; l’arbre est dans ses feuilles. Suite à un voyage sur Google Maps, les Mêmes-Cacaïstes sont de retour en ville.» événement facebook

⏩ Relisez notre article à propos de l’Espace des Mêmes.

«Complot 13» Sophie Auger, Kevin Dubeau, Guillaume Dufour Morin, François-Vivier Gagnon, Stéphanie Nuckle et Sophie Perry à la galerie GHAM & DAFE. Du 4 mai au 8 mai 2018

«La 13e édition de PROJET COMPLOT est fière de présenter l’exposition collective INFRAMONDES. L’exposition regroupe les œuvres de six artistes de Montréal et de Rimouski. Par des pratiques en art actuel de dessin, d’art web, de performance, de vidéo et de sculpture, les artistes, avec la complicité d’un artiste-géographe, révèlent le potentiel inexploité des espaces urbains et virtuels sous-estimés.» événement facebook

«All weʼd ever need is one another» Adam Basanta à la galerie ELLEPHANT. Du 4 mai au 2 juin.

«Entends-tu ce que je vois?/Do You See What I Hear?» Exposition collective à Dazibao, images, expositions, éditions. Jusqu’au 2 juin.

«Des images pour mieux entendre et des sons pour mieux voir. Une volonté d’affiner notre compréhension du monde, de tirer de ces relations singulières entre le son et l’image une signification dépassant la perception première du tout. Comme si l’incomplétude provoquée par l’absence, la censure ou l’oblitération d’un des sens contribuait à créer du sens. Comme si l’essentiel du propos résidait dans les attentes inassouvies ou dans la part lacunaire avouée de plusieurs des œuvres réunies ici.»

«Veins» Rita McKeough à la galerie OBORO. Jusqu’au 19 mai.

⏩ Lisez notre chronique «L’art au rendez-vous» à propos de l’exposition «Veins»! ✨

«Ébauche d’une singulière dissection» Myrianne D. Giguère à l’Espace VERRE. Jusqu’au 27 mai.  

«Depuis quelques années, le travail artistique de Myrianne D. Giguère s’articule autour de l’inconscient, cet organe invisible composé d’entités mouvantes, inconnues et sombres. Sous la forme d’un corpus de sculptures où le verre côtoie le bronze, la porcelaine et le textile, Ébauche d’une singulière dissection est le résultat d’une première tentative par l’artiste d’extérioriser le contenu de son inconscient. Elle y aborde la mort, le concept freudien d’inquiétante étrangeté et la folie avec une esthétique colorée, douce et attrayante.»

«Refus contraire» à la Galerie de l’UQAM. Du 16 mai au 16 juin.

«Aujourd’hui, comme il y a soixante-dix ans, il est toujours nécessaire que l’art repense l’espace social québécois. Alors que les mises en scène de la domination culturelle se complexifient, les raisons de s’indigner ne cessent de croitre. C’est pourquoi il importe de mettre cet imaginaire au service de refus multiples. Refus contraire, par sa double négation, en appelle à renouer avec la radicalité dans sa dimension positive, à envisager plus que jamais le refus comme force de résistance.»

«Étant Données» à la galerie VOX, centre de l’image contemporaine. Jusqu’au 30 juin.

«À l’ère du tout-numérique, une nouvelle infrastructure encadre progressivement notre perception et reconfigure notre expérience. L’exposition collective Étant données – présentée en collaboration avec le programme de recherche-création «Au-delà des images opératoires» – regroupe des expérimentations artistiques qui digèrent, non sans ironie, des données et algorithmes informatiques pour faire image.»

«Je relis tes lignes» Marie-Michelle Deschamps, Eleonore False à la galerie Diagonale. Jusqu’au 9 juin.

«Impossible de dire comment,

Impossible de dire quoi que ce soit.

J’ai perdu le fil, les pages non-(r)énumérés, s’agitent, libres maintenant.»

La Biennale d’art contemporain autochtone (BACA). Mai-Juin.

«Pendant deux mois, Montréal et Sherbrooke présenteront le meilleur de la création récente en art contemporain autochtone. Les co-commissaires invitées, Niki Little (Winnipeg/winnipi, MB) et Becca Taylor (Edmonton/amiskwaciwâskahikan, AB), ont rassemblé quarante-cinq artistes des quatre coins du continent américain pour cette édition entièrement consacrée aux femmes.

Répartie dans quatre lieux, la Biennale vous accueillera à la Galerie d’art Stewart Hall de Pointe-Claire, Art Mûr, La Guilde et le Musée des beaux-arts de Sherbrooke. De son côté, le Musée McCord présentera une soirée de projection de films autochtones et une table-ronde.» 

Toutes les informations: ici.

«Présence» Rodolphe St-Arneault à Art Neuf. Jusqu’au 25 mai.

«Rodolphe St-Arneault est avant tout concepteur d’éclairage pour la scène. Curieux d’explorer d’autres aspects de la lumière, il découvre la photographie et explore donc la lumière d’une autre manière en rendant celle-ci tangible le temps d’une photo. Il utilise la méthode du «light painting» pour illuminer des lieux qu’il découvre au hasard ou magnifier des modèles vivants.»

«Grid Terrain» Shawn Serfas à la Galerie MX. Jusqu’au 25 mai.

«Shawn Serfas s’identifie premièrement comme un “peintre de paysage”, influencé par le concept d’”abstraction relationnelle”, communément nommé “abstraction lyrique”. Cette approche à la création d’art s’assure de préserver l’expérience que crée les environnements physiques et subliminaux. Une dichotomie intéressante se révèle ici: la notion basée sur la compréhension associée de la peinture abstraite permet au public de trouver des références à certains éléments physiques d’un environnement créé au travers d’un procession d’érosion, de sédimentation et dégradation, vus du ciel.»

«IGNITION» Matthew Brooks, Brent Cleveland, Mara Eagle, Muhammad Nour Elkhairy, Malcolm McCormick, Emilie Morin, Claire Ellen Paquet, Etta Sandry, Adam Simms, Undine Sommer à la Galerie Leonard & Bina Ellen. Jusqu’au 25 avril. 

«La quatorzième édition d’IGNITION regroupe les œuvres de dix artistes. À travers l’articulation de leurs pratiques, les artistes sélectionnés reflètent un aspect caractéristique de la pédagogie à la maîtrise en beaux-arts de l’Université Concordia – qui veut que chacun.e prenne la responsabilité de ses œuvres en pensée et en paroles.»

«CONSTRUCTION, RUPTURE, RÉÉMERGENCE» Marie-Douce St-Jacques et Bahar Taheri au Centre Skol. Du 24 mai au 16 juin.

«”Les images peuvent fusionner avec notre imagination, nos sentiments, nos croyances personnelles. Sorties de leur contexte, elles nous racontent de toutes autres histoires”, déclare Bahar Taheri, qui propose une réinterprétation singulière des espaces et du temps, au travers d’un travail plastique, mêlant dessin peinture et installation. Marie-Douce St-Jacques l’affirme: “Ma vie est un collage: je suis une musicienne, ayant étudié la littérature et exerçant comme plasticienne”. Les réalisations de cette créatrice oscillent principalement entre productions sonores et travaux plastiques.»

«Points de départ, points qui lient» Bharti Kher à DHC/ART. Jusqu’au 9 septembre.

«Bharti Kher est reconnue internationalement pour son utilisation caractéristique du bindi dans son travail pictural et sculptural. Dérivé du mot sanskrit bindu – qui signifie point, goutte ou particule – et issu de traditions rituelles et philosophiques, le bindi consiste en un point apposé au centre du front pour symboliser le troisième œil spirituel.»

«Couleur / Interaction» Jonathan Severin à Marc Gosselin, l’atelier/galerie. Du 3 au 12 mai. 

«Cet artiste autodidacte né à Montréal, demeure à travers les années, engagé dans son art de façon aussi authentique que passionnée. Son travail reflète efficacement ses intérêts pour l’architecture et le design moderne. Il consiste principalement en une peinture abstraite, précise et épurée qui met en relation les couleurs et les formes de manière à déjouer l’oeil et créer une profondeur illusoire. Ses tableaux fascinent autant qu’ils déroutent. Sa fine recherche sur l’effet des couleurs les unes sur les autres et ses choix d’accumulations et de superpositions géométriques résultent en des oeuvres puissantes devant lesquelles l’observateur ne peut rester indifférent.» événement facebook

«Indicible» Melsa Montagne à la Galerie Tommy Zen. Du 10 mai au 15 juillet.

«Interdépendance/Indispensabilité» Benoit Aquin, Maria Hupfield et Karen Tam à la Galerie Hugues Charbonneau. Du 2 mai au 13 juin.

«L’exposition de groupe réunit les artistes Benoit Aquin, Maria Hupfield et Karen Tam, lesquels proposent différentes approches pour aborder le thème de l’équilibre des forces entre la personne, l’artefact, l’espace et l’histoire. Que ce soit par le soi et l’autre ou à la suite d’une manipulation physique ou numérique de l’objet artistique, la reconstitution s’avère un geste politique qui nous permet de vivre simultanément l’expérience du passé et du présent et possède la capacité de transformer et de déformer notre compréhension des événements historiques et des peuples.»

Pop-Up à Montréal à l’occasion du 3ème anniversaire de la Galerie 3 au Belgo. Jusqu’au 20 mai.

«2018 marque un moment important dans l’histoire de la Galerie 3 de Québec, car elle célèbre cette année son 3e anniversaire! Pour souligner cet événement, nous tenons une exposition temporaire à Montréal à l’espace 216 de l’édifice Belgo, lieu bien connu des collectionneurs et des amateurs d’arts visuels. Ce sera l’occasion de présenter au public montréalais une sélection d’œuvres choisies de Thierry Arcand-Bossé, Daniel Barrow, BGL, Julien Boily, Martin Bureau, Cooke-Sasseville, Annie Descôteaux, Doyon-Rivest, Claudie Gagnon, Paryse Martin, Tim Moore, Jean-Pierre Morin, Andrea Mortson, Graeme Patterson, Amélie Proulx et Mathieu Valade.» 

Sky Glabush à la galerie Projet Pangée. Jusqu’au 2 juin.

Close
0