Fruits d’un travail colossal, les robes s’inspirent à la fois de l’art et de la vie de Frida Khalo. Débordant de détails soigneusement brodés, on ne s’est pas lassés de les regarder au cours de la soirée. Le plafond à l’entrée du Salon Laurette n’était pas en reste: Dionoski avait aussi créé pour l’occasion un complexe réseau de tuyaux rouges, allusion à un élément récurrent dans les tableaux de l’artiste mexicaine, d’où étaient accrochés plusieurs petits miroirs et coeurs rouges, brodés eux aussi.
Sur les murs et sur les tables était aussi exposés les bijoux de Marmod8, les collages de Sara Hébert ainsi que les recueils Caresses Magiques dont elle est la co-instigatrice, une illustration de Cara Carmina, qui signe d’ailleurs tout le volet images du livre jeunesse Frida c’est moi, les aquarelles de Catherine Harvey, les peintures d’Amanda Di Genova, et les créations de bois de Miriam Rigaud, designer ébéniste, que les enfants se sont appropriées au cours de la soirée.
Malgré la température maussade, la chaleur du Mexique était bien présente dans le petit espace bondé pour l’occasion.
Hommage à Frida – Exposition collages textiles broderie
Jusqu’au 28 mai
au Salon Laurette (1950 rue Centre, Montréal)
Finissage et rencontre avec l’artiste le 28 mai entre 13h et 17h.
D’ici là, les oeuvres sont visibles à partir de la rue (avec possibilité d’entrer s’il y a un travailleur présent au Salon).