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L’étroit partenariat du numérique et des arts de la scène

L’étroit partenariat du numérique et des arts de la scène

Des conférences et des séances de pIDs (propagation d’idées) seront au menu dans l’esprit de cette journée qui souligne l’importance du numérique. Des outils pour apprivoiser ces nouvelles technologies seront à la disposition des usagers à travers une vingtaine de rencontres d’ateliers. Une trentaine de spécialistes et maitres dans l’industrie du numérique artistique assisteront les invités dans les ateliers et les conférences. On peut compter, entre autres, sur la présence de l’auteur-techno-conférencier Jean-Robert Bisaillon, de la chorégraphe Priscilla Guy et du directeur de Québec numérique Pierre-Luc Lachance.

La conférence de Jean-Robert Bisaillon lance la journée en force à partir de 8h30. Il enseignera aux invités les concepts et le lexique commun des arts numériques. Les conférenciers Vincent Routhier et Jonathan Bélisle se pencheront sur l’intelligence des objets à 9h45. Ces créateurs conçoivent des outils pour changer notre vision et nos interactions avec le monde naturel. Leur installation «SAGA», un plancher symphonique interactif, sera à la disposition du public pour toute la durée de l’évènement.

Micho Marquis-Rose, directeur de production chez Attraction Images, et Fred Bastien, YouTuber québécois, se positionneront à 11h15 quant à la place de YouTube dans le rayonnement de l’artiste. La question de l’influence médiatique sur la génération Y sera au cœur de la discussion.

À midi, les invités pourront assister à une conférence de Laurent Maisonnave, le fondateur de Seevibes. Le conférencier parlera de la récolte de données sur les médias sociaux, principalement du précieux procédé d’analyse de celles-ci.

Le guide de mise en marché de la musique québécoise francophone (MQF) se verra expliqué par la conférencière Annie Provencher à 14h40. Cet outil permet de consulter des portraits détaillés de consommateurs dans le but de mieux cerner leur profil et ainsi cibler les efforts de promotion.

À 15h30, la dernière activité, appelée «Techno, le public?», est un panel composé de participants issus de divers groupes de la société afin qu’ils commentent les expériences technologiques en arts de la scène. La vision du spectateur détient une place de choix dans le processus d’avancement des technologies reliées au numérique artistique.

Le public est invité à se joindre à la rencontre, qu’il soit novice ou expert, afin de côtoyer les ingénieux artisans qui se penchent sur les enjeux numériques pour améliorer le maniement des technologies utilisées.

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