Après des années d’incubation dans les réseaux associatifs et militants, l’habitat participatif a reçu ses lettres de noblesse en 2014. L’article 47 de la loi Alur lui apporte une reconnaissance, en créant deux formes de société dédiées à la construction et à la gestion de logements sur initiative citoyenne, la coopérative d’habitants et la société d’attribution et d’autopromotion . Fort de cette réussite et de la mobilisation des pionniers, qui ont convaincu les partenaires institutionnels de l’intérêt de la démarche, le mouvement de l’habitat participatif est confronté dorénavant au défi de l’élargissement des expérimentations au plus grand nombre possible. Trois enjeux majeurs sont identifiés. Lire la suite sur lemoniteur.fr