La guerre entre chiens et chats connait donc une nouvelle ligne de fracture : une étude menée auprès de 500 adultes américains a conclu que les « personnes à chiens » (dog people) adopteraient un comportment naturellement plus dominateur dans la sphère sociale et se sentiraient plus à l’aise avec le concept de hiérarchie que les « personnes à chats », qui accepteraient quant à elles assez mal les inégalités sociales. Lire la suite sur atlantico.fr