Rumeurs, contre-vérités, mensonges, distorsion des faits et autres joyeusetés n’en finissent plus d’inonder l’agora médiatique et la sociosphère. A coups d’affirmations pleines d’aplomb, de tweets à répétition et de chaînes de partage de contenus, chacun assène sa vérité pour mieux pilonner l’autre, quitte à s’arranger avec la véracité. Avec la consécration du temps réel numérique, la prise de recul et le recoupement des informations deviennent des exercices d’une incroyable complexité pour le journaliste comme pour le citoyen ou l’entreprise. Et si le « fact-checking » constituait une piste pour limiter les bobards et intoxs en tout genre ? Tour d’horizon d’un phénomène en pleine expansion. Lire la suite sur leblogducommunicant2-0.com