Communisme et anticommunisme sont indissociablement associés, la publication et la lecture conjointe des deux ouvrages poussent à cette première considération. Vient s’y ajouter immédiatement une deuxième : rien n’a été mieux partagé que l’anticommunisme puisqu’il va de la gauche libertaire à l’extrême droite. Enfin, une troisième surgit à la lecture des titres et à la mémoire posthume de ces phénomènes : l’anticommunisme demeure entaché d’une coloration négative, son utilisation par les régimes d’extrême droite ayant fait de ce terme un repoussoir résumé par la formule de Sartre « un anticommuniste est un chien ». Lire la suite sur nonfiction.fr