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Polo à vélo: Blessure de guerre

Polo à vélo: Blessure de guerre

L’immense sourire des joueurs de polo à vélo contraste avec leur allure malfamée.  Leurs vêtements déchirés et leurs cicatrices rappellent que le polo à vélo est un sport extrême. Voici un recueil de quelques blessures qu’ont subies les joueurs interviewés par Baron. Le mot de la fin est dédié à Matt Messenger, l’un des joueurs avec la plus longue carrière de polo à vélo.

Jesse Bourns – Montréal   
Je me suis retrouvé en mauvaise posture et un joueur m’a frappé juste au dessus de l’œil avec son maillet. Je suis tombé à terre et mon œil était rempli de sang. J’étais sûr que j’allais devenir aveugle. Une chance qu’il y a un hôpital juste à côté du terrain où on joue.

Heidi Stroll – Montréal
Mon dérailleur s’est enfoncé dans mon mollet. Ma blessure ressemblait à des cratères tellement mes galles étaient profondes.

Lisa Moffatt – Vancouver  
Je savais qu’un joueur adverse s’avançait derrière moi. J’ai voulu me déplacer pour le bloquer. Malheureusement, j’ai sous-estimé sa vitesse. Mon bras est tombé sur sa roue arrière et a hérité d’une longue cicatrice de 15 pouces.

Matt Messenger – Seattle
Ma pire blessure fut un doigt brisé. J’étais tombé avec un angle un peu bizarre. Même si cela fait plus d’une décennie que je joue, je ne me suis jamais blessé gravement. Le polo à vélo n’est pas un sport dangereux si l’on fait attention.

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