Des PME officiellement reconnues sources de valeur, d’emploi et de croissance mais des entrepreneurs susceptibles de devoir reverser 60 % de leurs plus-values de cession par un gouvernement accusé de vouloir éradiquer l’auto-entrepreneuriat… Le paradoxe n’est pas nouveau et, au-delà des enjeux de fiscalité dénoncés par la fronde des Pigeons, révèle un décalage total entre l’univers du politique et celui de l’entreprise. Lire la suite sur lenouveleconomiste.fr